Test Final Fantasy 7 Rebirth

Introduction

“que vous le vouliez ou non et bien l’AVE générale de Final Fantasy 7 reburse est un tantinet biaisé parce que ce jeu représente la nostalgie pure des joueurs que nous sommes”

Final Fantasy 7 Rebirth est incontestablement porté par la nostalgie, en particulier pour les joueurs qui ont découvert la saga sur la première PlayStation. Ce remake ambitieux s’attire donc logiquement les éloges.

Pour autant, derrière l’enthousiasme, le jeu présente quelques défauts notables qu’un fan inconditionnel aurait tendance à occulter.

Regard critique.

Durée de vie et contenus

“une chose est sûre pour les gens qui vont acheter ce Final Fantasy 7 reeverse ils en auront pour leur argent”

Avec une quarantaine d’heures pour le scénario principal et bien plus pour le 100%, Final Fantasy 7 Rebirth propose une valeur sûre en matière de durée de vie.

SquarEnix n’a pas lésiné sur les contenus additionnels, à commencer par le Gold Saucer et ses très nombreux mini-jeux.

Bref, en achetant ce remake, vous en aurez assurément pour votre argent, quitte à frôler l’indigestion.

Structure semi-ouverte

“c’est peut-être ça l’une des plus grandes faiblesses de ce Final Fantasy 7 reburse puisque le jeu ne semble pas avoir le moteur adéquate pour gérer un open world comme le font si bien d’autres sagas”

L’une des nouveautés notables de cet épisode est incontestablement son aspect semi-ouvert. Néanmoins, la rigidité des animations et des interactions avec le décor montre rapidement les limites du moteur graphique.

Résultat, la sensation d’open world fantasmée laisse place à une structure beaucoup plus classique et répétitive, alternant phases en couloir et zones ouvertes artificielles typiques des titres Ubisoft.

Scénario

“la progression est ponctué de nouveaux éléments narratifs qui rendent l’histoire plus intéressante et plus attachante également”

Heureusement, le scénario sauve les meubles en approfondissant avec brio l’histoire et les relations entre les personnages. Certes, quelques modifications ont été apportées, mais elles ne trahissent pas l’essence du récit original.

Finalement, impossible de rester de marbre face aux destins qui se jouent sous nos yeux.

Technique décevante

“si on commence en fait à gratter un petit peu à regarder de plus près on s’aperçoit que le jeu accuse son âge”

C’est presque paradoxal pour une production si ambitieuse, mais FF7 Rebirth déçoit clairement sur le plan technique. Textures floues, effets spéciaux en carton-pâte, éclairage synthétique…

Le constat est sans appel, le jeu a déjà des airs de dernière gen. Pire, le mode performance 60 fps dénature complètement l’image.

Autant dire que le moteur graphique laisse perplexe en 2024 !

Gameplay retravaillé

“grosso modo reburse reprend les mécaniques de l’épisode remake mais rend les manœuvres plus amples et plus souple également”

Heureusement, le gameplay ressort grandi de cet épisode. Les développeurs ont retravaillé le système de combat pour le rendre plus nerveux, avec des parades bien senties et des attaques synchronisées dévastatrices.

Cerise sur le gâteau, la personnalisation des combattants apporte encore davantage de profondeur via le Codex.

Le seul bémol vient de menus pas toujours très clairs.

Conclusion

“La note Reality Z 16/20”

Au final, derrière l’enthousiasme légitime des fans, FF7 Rebirth ne fait pas tout bien, loin s’en faut. Mais l’essentiel est préservé pour garantir aux joueurs un véritable voyage épique et mémorable.

Les amateurs ne devraient donc pas bouder leur plaisir !

Note finale : 16/20